C'est la saison des marathons. Celui de Paris prend le relais du marathon des sables, arrivé samedi (le plus désirable, avec sa course dans les dunes et la difficulté supplémentaire de devoir porter soi-même de quoi s'alimenter).
Les candidats à la présidentielle, eux, attaquent la dernière ligne droite de leur marathon respectif. Avec deux gros barnums, l'un à la Concorde (ça lui rappelle le jour de son intronisation?), l'autre à Vincennes (même s'il y a plus d'iris que de roses au Parc floral). L'innovation de l'année, c'est le grand meeting en plein air, lancé par Mélanchon à la Bastille, jusqu'à sa maxi parade sur la plage de Marseille, ah la bonne idée - d'ailleurs politiquement intéressante, puisque la plage reste un des très rares lieux où, tout le monde en maillot, les différences de classe se lissent.
C'est aussi la saison du Titanic coulé il y a 100 ans par un iceberg et par la connerie de ses architectes, armateurs et capitaine réunis pour se croire plus costauds que ça. Les commémorations se clôturent par une méga vente aux enchères, à New York (faut pas perdre le Nord, au risque de s'y frotter à de gros glaçons). De là à y voir des métaphores électorales...
C'est aussi la saison du Titanic coulé il y a 100 ans par un iceberg et par la connerie de ses architectes, armateurs et capitaine réunis pour se croire plus costauds que ça. Les commémorations se clôturent par une méga vente aux enchères, à New York (faut pas perdre le Nord, au risque de s'y frotter à de gros glaçons). De là à y voir des métaphores électorales...
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