Week-end de bioénergie : deux jours entre parenthèses (raison majeure de tenir à ces rendez-vous avec moi-même), à l’écart des impératifs sociaux, du boulot, des amours… Et pourtant au milieu de tout cela parce que moment de recentrage.
Renouer avec des exercices corporels que je ne pratique pas toujours avec l’assiduité dont j’ai besoin – souvent, ces week-ends m’offrent l’occasion de reprendre la routine de l’entraînement, une routine que ma double vie Paris/Nantes perturbe beaucoup. Écouter les douleurs et les bonheurs des autres – qui font écho aux miens. Et puis parler autrement de mes doutes, colères, détresses – ce dont j’ai grand besoin ces jours, encombrée que je suis par les souffrances d’un homme dont la culpabilité réveille les miennes – ce vieux vieux fond d’illégitimité (« je ne mérite pas, je n’ai pas le droit »).
Renouer avec des exercices corporels que je ne pratique pas toujours avec l’assiduité dont j’ai besoin – souvent, ces week-ends m’offrent l’occasion de reprendre la routine de l’entraînement, une routine que ma double vie Paris/Nantes perturbe beaucoup. Écouter les douleurs et les bonheurs des autres – qui font écho aux miens. Et puis parler autrement de mes doutes, colères, détresses – ce dont j’ai grand besoin ces jours, encombrée que je suis par les souffrances d’un homme dont la culpabilité réveille les miennes – ce vieux vieux fond d’illégitimité (« je ne mérite pas, je n’ai pas le droit »).
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