Suite du "Grand livre de la vie", Avignon, aller au théâtre et faire l'amour. Du off et du in, Valérie Namur et les orages... C'est le monde qui arrive jusqu'à nous, sur son grand cheval blanc. L'amour et le monde qui souffre. La Syrie dans la guerre, la guerre à nos portes, l'orage sur nos têtes. Et puis nos amours, nos souffrances d'enfants, nos rêves de monde meilleur. "J'ai rêvé d'un autre monde" - comme le titre de l’œuvre de Claude Lévêque chez Yvan Lambert. L'an dernier, j'ai aimé la rencontre avec Valérie Namur, femme excessive. Il y a de l'excès à Avignon, beaucoup. Peut-être c'est pour ça que je l'aime, ce festival.
Et voilà, pendant tout ce tintamarre, l'amour. Être ici est un bonheur. Partager tout ce théâtre, se désirer, se raconter des histoires.
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